- les intimidations, insultes, moqueries ou menaces en ligne
- la propagation de rumeurs
- le piratage de comptes et l’usurpation d’identité
- la création d’un sujet de discussion, d’un groupe ou d’une page sur un réseau social à l’encontre d’une personne
- la publication d’une photo ou d’une vidéo de la victime en mauvaise posture
Une histoire de cyber-harcèlement a conduit récemment au suicide Amanda Todd, une jeune Canadienne de 15 ans, après trois ans de calvaire. Dans une vidéo postée peu avant sa mort sur YouTube, elle fait défiler une série de notes écrites à la main sur de petits papiers. Sans parler, elle raconte le harcèlement dont elle est victime à l'école et sur Internet. On apprend qu'à l'âge de 12 ans elle a été incitée à montrer sa poitrine à un inconnu devant sa webcam. La jeune fille, qui raconte avoir seulement voulu "rencontrer et parler à de nouvelles personnes", se retrouve alors prise au piège. Un an plus tard, cet homme malintentionné usurpe son identité et crée une page Facebook en son nom : "Il savait tout de moi : nom, adresse, famille, ami"... L'internaute choisit comme photo de profil les seins de la lycéenne et invite les proches et connaissances d'Amanda à s'abonner à la page Facebook...
Les bons réflexes pour s'informer et trouver de l'aide ?
08 08 80 70 10 un numéro d’appel national "Stop Harcèlement" (appel gratuit depuis téléphones fixes et portables)
Net Écoute 08 20 200 000 Numéro vert, gratuit, anonyme, confidentiel et ouvert du lundi au vendredi de 9h à 19h : un écoutant spécialisé répond à toutes vos questions sur le cyber-harcèlement